Kuala-Lumpur, Cameron Highlands, Pulau Penang...

Bienvenue dans l'avant-avant dernier pays que je vais visiter durant ce voyage : la Malaisie. Entre villes surpeuplées, plantations de thé dans les hauteurs, plages sublimes, îles magnifiques, jungle chaude et humide et rencontres exceptionnelles, ce pays saura me toucher au plus profond de mon cœur...

Ainsi, bien que le choc culturel se fasse parfois ressentir, j'apprécie de trouver une population gentille, souriante et ouverte au monde.

De plus, quel n'est pas mon plaisir que de voir les religions coexister sans haine ni conflits, mais tout simplement respectueusement. Ici, je croiserai des musulmans, des hindous, des bouddhistes... et verrai marcher dans la rue, main dans la main, des femmes totalement voilées avec des femmes à la chevelure apparente...

Bien que je puisse parfois me plaindre de l'insalubrité de certains lieux, il y a bien une chose que je retiendrai de ce pays :

"Mes problèmes sont loin d'être graves..."

Moi qui n'apprécie pas de fermer ma gueule sur les sujets me tenant à cœur, sachez tout de même que mon dernier article sur la Malaisie sera incomplet. En effet, pour des raisons personnelles, et bien que je sois frustré et révolté, j'ai aujourd'hui décidé de m'auto-censurer, et donc de taire ce que j'aimerais dire tout haut, et que je continuerai hélas à penser tout bas...

Je remercie quelqu'un de m'avoir ouvert les yeux, encore un peu plus grands, sur une partie du monde dans lequel nous vivons, mais aussi et surtout sur la force d'esprit, l'espoir, la gentillesse, la bonté et, enfin, le courage que certains possèdent, mais dont les Hommes n'usent que trop rarement!

Le 08/03/2013, la boucle ayant été bouclée en Nouvelle-Zélande, je quitte Auckland à 18h50, dans un A380 de la compagnie Emirates. Quatre heures de vol plus tard, durant lesquelles je rédige un peu mon blog et commence à regarder le dernier "James Bond : Sky Fall", l'avion se pose à Melbourne, en Australie, à 20h50.

Ayant moins de 8 heures d'attente dans la zone internationale, il n'est pas nécessaire que je paye un visa. Lorsque je passe les contrôles de douane, très strictes en Australie, ma réputation me suit une nouvelle fois... Je ne sais pas à quoi je ressemble, mais...

"Monsieur, vous avez été aléatoirement sélectionné pour le contrôle de drogue".

Ouais, super, je gagne quoi? C'est habitué et la conscience tranquille que je passe le test avec succès.

Que le temps paraît long lorsqu'il n'y a rien à faire et que, depuis déjà 7 mois et demi, je bouge presque tous les jours... Heureusement, dans cet aéroport, le Wi-Fi est gratuit. Ainsi, je passe quelques heures à parler sur Skype avec mes parents adorés. Merci beaucoup pour le soutient!

Mes yeux, parfois, se ferment, mais je ne veux surtout pas m'endormir. Ainsi, pendant près de 7 heures, j'observe les allers et venus des gens. Certains bouquinent, d'autres somnolent, et d'autres encore font les 100 pas...

Une chose est sûre, c'est que je me demande ce que font certains! En effet, le nombre d'appel à l'embarquement immédiat est impressionnant. Un vol part même une demie heure en retard à cause d'une quinzaine de personnes qui ne se présentent pas, mais qui sont pourtant enregistrées... Au final, seuls deux d'entre manquent réellement à l'appel! Va savoir où ils se sont perdus...

Le temps passe et, avec deux cafés dans le sang, je tiens le coup. Minuit pointe alors le bout de son nez...

Le 09/03/2013, mon voyage continue. J'embarque dans le second A380 de la compagnie Emirates, et l'avion décolle à 3h30 du matin, heure de Melbourne.

Alors que dans le premier appareil, tous les sièges étaient occupés, j'ai cette fois-ci la chance d'avoir 3 sièges pour moi tout seul. Ainsi, je peux enfin me reposer. Avant de m'étaler sur les sièges inoccupés, je termine James Bond, que j'avais laissé dans une bien mauvaise posture il y a quelques heures, puis m'endors pendant cinq heures!

À mon réveil, il ne reste plus grand chose des 7h50 de vol, et c'est à 8 heures, heure locale, que mon avion atterrie à Kuala Lumpur, en Malaisie :-)

Ici, peut-être que la chaleur ralentit l'organisme, mais les bagages tardent à arriver... Mon sac à dos récupéré, je passe les douanes très aisément. Seul un "Bonjour madame", et la prise de mes empreintes suffisent à ce que le visa de trente jours me soit accordé par une douanière souriante.

À la sortie de l'aéroport, je transpire déjà beaucoup. À peine ai-je terminé de descendre les escaliers que deux rabatteurs de compagnies de bus me sautent dessus.

Je choisis la compagnie "Blue Star" et paye 10 riggints : la monnaie locale, pour me rendre dans le centre ville de Kuala Lumpur. Pour information, un euro correspond à environ 4 riggints, un très bon taux de change pour les Européens...

Une heure trente de bus plus tard, je suis déposé proche de Chinatown, où je me mets à chercher l'Hostel dans lequel j'ai déjà réservé un lit dans un dortoir de huit.

"Raizzi's Hostel" est sympathique, propre et sécurisé. Le dortoir est climatisé, et le petit déjeuner (café, thé, pain de mie, confiture et beurre), est offert.

Lorsque je souhaite brancher ma tablette... surprise! Encore une fois, les prises sont différentes, et j'ai besoin d'un nouvel adaptateur secteur! Je l'achète directement à la réception... Maintenant, j'ai la collection complète, je peux donc voyager partout sans aucun problème :-)

Après une petite douche, je sors manger dans la rue. Mon plat est hyper épicé, mais délicieux. À vrai dire, tant mieux, car étant fatigué, mon système immunitaire est plus faible. Avec le piment, aucune chance que je tombe malade!

Deux femmes s'assoient à ma table et nous tentons de discuter, mais le résultat n'est pas fameux, car leur anglais est approximatif. Très gentilles et n'ayant plus faim, elles m'offrent la fin de leurs nouilles.

Cet après-midi, je suis trop explosé pour faire quoi que ce soit, surtout avec cette chaleur humide. Ainsi, je m'allonge dans la chambre et surf sur le net.

Durant la soirée, je me permets une petite ballade culinaire dans Chinatown. La foule étant vraiment importante, je me promène la main dans la poche afin de protéger mon porte monnaie, mais aussi et surtout ma carte Visa et mon passeport!

Je m'assois à une table et commande une soupe chinoise. Comme beaucoup de monde ici, l'homme se racle la gorge et crache par terre, puis prend les nouilles à main nu et les plonge dans un bol d'eau bouillante. Hum, appétissant! Peu importe, je passe sur ça et mange ce repas qui est, au final, excellent.

Oh! Un gros rat traverse la rue devant moi! Personne ne s'étonne, c'est ici habituel... C'est mon premier soir en Asie, et il est nécessaire que je relance mon cerveau en supprimant momentanément mon style de vie d'Européen!

J'efface donc les normes de sécurité sanitaire, les normes Européennes... et me fais à l'idée qu'ici, c'est comme cela et pas autrement. Après tout, c'est aussi cela que je suis venu chercher : la différence culturelle :-)

Le 10/03/2013, je suis debout, sans réveil, à 9h45, et ce n'est pas si mal en ayant pris 3 avions et en ayant 5 heures de décalage horaire par rapport à la Nouvelle-Zélande. Je petit-déjeune tranquillement et, après avoir pris quelques renseignements, je sors visiter cette ville de fou...

Je commence par me rendre à la "Kuala Lumpur Tower", tour surplombant la ville. D'ici, la vue est assez décevante. En effet, le ciel est très pollué, et la ville assez moche!

Je continue mon petit tour par les "Petronas Towers", les tours jumelles de Kuala Lumpur dont l'architecture est tout de même beaucoup plus recherchée. Un centre commerciale y est installé afin que les milliers de touristes affluant du monde entier puissent faire leurs emplettes. Les contrefaçons de Chinatown sont remplacées ici par les vraies marques, et les prix sont du coup bien supérieurs! Les deux premiers magasins, en devanture des tours, sont Vuiton et Cartier...

Après avoir flâné un peu dans les boutique sans rien acheter, et fait un tour dans les jardins situés derrière les tours, je m'arrête dans une allée un peu miteuse afin de déjeuner.

Avant de remplir l'assiette que le Malaisien me tend, je lui demande le prix :

Moi : "Combien coûte le repas?"

Lui : "Oui oui"

Moi : "Ok, on va faire plus simple. Combien de riggints pour l'assiette?"

Lui : "Oui oui"

Moi : "Bien, tu ne comprends rien à ce que je dis?"

Lui : "Oui oui"

Bon! C'est bien parti... Un homme arrive et lui traduit pour moi. Le plat n'est vraiment pas cher, et je m'assois donc à une table. À ma droite, l'eau coule en permanence par petites gouttes. Ainsi, une flaque d'eau croupie révèle son odeur et une dizaine de chats font des allers et retour près de moi. Je mange mon plat avec une odeur de chien mouillé dans le nez, et mon thé glacé n'est pas très bon, mais au moins, je me suis nourri...

Je marche ensuite jusqu'à "Time Square", un beau bâtiment renfermant aussi un centre commercial. Je me renseigne pour des lunettes de soleil "Mauï Jim", pensant qu'elles sont moins cher ici, mais il n'en est rien. Ainsi, je les achèterai en France, après mon opération des yeux qui se fera, je l'espère, peu de temps après mon retour.

Le soir venu, je me promène de nouveau dans Chinatown. Le mois de mars représente la fin de la mousson, mais il y a tout de même parfois, comme ce soir, de fortes pluies accompagnées d'orage.

Ma montre fonctionnant toujours, mais étant incapable de la remettre à l'heure à cause de la molette, j'achète ici une vrai fausse TagHeuer, mais "best quality", et "best price"... Forcément, suis-je bête, elle reste moins chère que la Rolex à 40 euros!

Avant de me coucher, et après 23 jours et demi en Nouvelle-Zélande, je me rend dans un salon de massage, et c'est extrêmement déçu que je ressors de la boutique... Le massage était d'une qualité médiocre, et l'entreprise cache, j'en suis certain, un réseau de prostitution! Je sais, je suis parfois naïf, et j'aurais du m'en douter...

Le 11/03/2013, je fais l'acquisition d'un guide sur l'Asie : le "Lonely Planet : Southeast Asia on a shoestring". Aujourd'hui, je décide de rentrer, pour la première fois, dans une mosquée. Ainsi, je me rend à la "National Mosque" de Kuala Lumpur.

Par respect, toutes les femmes se couvrent les cheveux avant de rentrer dans le lieu sacré, et alors que j'avance dans la file, une femme me tend aussi un voile...

Surpris, et peut-être encore une fois naïf, je demande le pourquoi du comment. L'explication est simple : je suis actuellement en short, et mes genoux sont donc apparents... L'intérieur est beau, mais je m'attendais à quelque chose de beaucoup plus prestigieux!

En sortant, la chaleur m'étouffant et ne supportant pas cette ville après avoir goûté aux contrées verdoyantes du précédant pays, je rentre à l'Hostel :-(

Alors que je suis étalé sur mon lit, deux filles débarquent dans le dortoir. Theresa et Suzanna, qui nous viennent de République Tchèque, me propose de sortir ce soir afin de discuter autour d'un verre. C'est avec plaisir que j'accepte l'invitation, car j'ai maintenant besoin de me remettre dans le bain!

Ainsi, nous sortons tous les trois au "Reggae Bar", à 50 mètres de mon Hostel, partageons quelques verres et une chicha, puis dinons dans Chinatown :-)

Le 12/03/2013, je me lève tôt et me rends à la station de bus dans laquelle j'ai acheté, hier, mon ticket pour les "Cameron Highlands". Pendant que je petit-déjeune, je discute 5 minutes avec le réceptionniste de nuit, Mellad, que je n'avais étrangement pas remarqué avant. Aucun de nous n'a réussi à savoir de quel pays vient l'autre!

Avant de rentrer dans le bus, je discute avec Chantal et Nicole. Petite devinette : quel âge ont-elles, et d'où viennent-elles? Ce qui vous vient en tête de suite sont deux françaises pas forcément très jeunes, n'est-ce pas?

Et bien je vous dis premièrement "incorrect", et deuxièmement "inexacte". Ces deux voyageuses ont a peu près dans mes âges, et viennent de... Suisse :-)

Arrivés à destination, elles me disent qu'elles ont déjà réservé dans un Hostel. Celui-ci étant dans mon Lonely Planet, et affichant de bons prix, je marche à leurs côtés.

Sur le chemin, nous croisons trois backpackers une première fois, puis une seconde. Ceux-ci ayant l'air de chercher un endroit pour dormir, je les accoste et, après confirmation de mes pensées, leur donne la direction de celui où nous nous rendons.

"Eight Mentigi Guesthouse" est un endroit très bien entretenu, peu bruyant, peu cher et tenu par un Malaisien très gentil et serviable. Il devrait cependant renouveler son stock de blagues. Je recommande cet Hostel à tout le monde :-)

Alors que j'ai déjà posé mes affaires dans le dortoir, les trois jeunes à qui j'ai indiqué cet endroit quelques minutes auparavant font leur apparition et... je les entends parler français!!!

Le seul garçon du groupe s'approche alors de moi et me demande, en anglais : "Excuses moi, mais est-ce que je peux te poser une question?".

Ayant compris où il voulait en venir, mais sans avoir switché mon cerveau en version française, je lui répond que oui, je suis français, et que je les ai entendu parler entre eux...

Bref, pourquoi est-ce que je parle de cela, vous demandez-vous? Et bien parce que, bien que j'ai non seulement un drapeau français sur mon sac à dos, et qu'en plus j'ai du matériel Quechua, ils avaient encore un doute sur ma nationalité lorsque je leur ai parlé anglais! Ainsi, je le répète souvent, mais il faut bien que je m'auto-motive, je suis fier d'avoir atteint ce niveau d'anglais :-)

Amandine (France), Karl (France), et Noémie (Province du Québec), je vous souhaite la bienvenue dans mon blog :-)

L'après-midi, plutôt pluvieuse, passe bien vite. Je discute avec deux hollandaises : Anne et Jessica, avance sur mon blog, et vais manger avec Amandine, Karl et Noémie. La soirée se termine par des parties de Kem's et de Président : deux jeux de carte me rappelant mon enfance...

Le 13/03/2013, je vais visiter, avec mes trois acolytes francophones, la "Mossy Forest", les plantations de thé et le "Butterfly Garden".

Notre groupe s'agrandit avec deux avocats Hollandais dont j'ai oublié le nom, ainsi que deux allemands : Niklas, alias Ben Affleck, et Mikael.

Notre premier arrêt concerne les plantations de thé. Ce job étant vraiment éreintant, plus aucun Malaisien ne souhaite y travailler. Ainsi, la population des pays alentours remplace la population locale, tandis que les enfants des anciens ouvriers se lancent dans les études supérieurs, ou deviennent guide touristique.

Le but des cueilleurs de thé est de ramasser les plus petites feuilles, beaucoup plus friables que les grosses, qui elles sont cassantes. Avec 70 à 80 kilos de feuilles sur la tête, ils déposent leurs butin sur le bord de la route et retournent s'affairer à la cueillette...

Le travail ne se fait actuellement plus à la main, mais reste malgré tout toujours aussi difficile. Les ouvriers utilisent, aujourd'hui des sortes de coupe-coupe, ainsi que des machines portatives extrêmement lourdes... Les plantations ici présentes, si j'ai bien écouté le guide, ont des centaines d'années...

Notre arrêt suivant se fait sur un ancien poste de garde. D'ici, l'armée surveillait l'arrivée des communistes! Ci-dessous, dans l'ordre, je vous présente Amandine, Karl et Noémie :-) Nous les verrons mieux par la suite...

Le guide s'arrête parfois sur la route afin de nous montrer des plantes insectivores, de la citronnelle, la plante d'où provient le Baume du Tigre, et des bambous qui servent à tout : boire l'eau qui y est enfermée, faire des outils, des armes, mais aussi des chaises et des tables...

Après une petite marche en forêt (qui fait du bien au pauvre Karl qui est malade en voiture ahahah), nous nous rendons dans l'usine qui transforme les récoltes en poches de thé!

Notre dernière pause avec le guide s'effectue au "Butterfly Garden", un endroit magnifique où l'on peut non seulement voir des papillons... bin oui forcément, mais aussi de nombreux insectes assez extraordinaires.

Si vous êtes joueurs, soyez bien attentif aux photos. Sur l'une d'entre elles, que je vous indiquerez, se cache "Charlie". Oubliez le bonhomme rouge et blanc que l'on a bel et bien l'habitude de chercher avec son chien, sa cousine et le magicien, mais cherchez des insectes qui se camoufles en branches, feuilles...

Ok, c'est le moment de jouer. Vous l'avez bien vu au dessus? Maintenant, où est Charlie en dessous? Vous avez dix secondes! Bon, j'avoue que c'est assez simple quand on le sait, mais imaginez tous ces insectes dans la nature...

Qu'est-ce que cette feuille un peu plus étrange que les autres ci-dessous?

Et bien c'est une... grenouille!

Nous avons aussi le plaisir de tenir dans la main un scorpion avec qui nous devons "jouer" afin que le pauvre petit ne soit pas stressé... Certaines personnes ont l'air décontracté, et d'autres moins... Je dois dire que mon cœur a déraillé légèrement lorsqu'il me l'a posé sur la main!

Il faut savoir que ce gentil insecte peut potentiellement tuer un enfant, et donner une très méchante fièvre à un adulte!

Notre groupe se rend ensuite à la "Strawberry Farm", une ferme de fraise que je ne m'attendais pas du tout à trouver en Malaisie. Bien qu'elles soient cher, Noémie se laisse tenter, et je l'accompagne. Au final, nous avons dégusté cinq grosses fraises chacun, un vrai plaisir :-)

Le soir venu, alors que les différents groupes se sont retranchés dans leur Hostels respectifs, nous sortons manger et recroisons les allemands. La soirée se termine autour d'un jeu de carte un peu alcoolisé : "Who drives the bus?", et cela fait du bien, car il fait froid dans les hauteurs...

Avec quelques règles étranges, les bières se terminent assez rapidement... Ce soir, Noémie se nomme Champagne, Karl Bignonioïdes, Amandine Tequila, Niklas Martini, Michael Sambucka, et moi Rhum. De plus, il est interdit de désigner quelqu'un en faisant un geste et, enfin, toutes les phrases doivent être concluent par "in my pants", peu importe ce que l'on dit...

Au final, tout le monde tourne autour des chaises avant de boire une gorgée, et les gens qui ne suivent pas le jeu nous prennent pour des fous :-)

Noémie, je suis ravi de t'avoir connue. J'espère que tu t'aies bien éclaté en Malaisie et en Thaïlande, et je suis désolé de ne pas avoir pu te rejoindre pour tes derniers jours de voyage. Tu es la bienvenue en France... in my pants!

Le 14/03/2013, Amandine, Karl et moi-même nous levons à 6 heures, et c'est une heure plus tard que nous prenons un mini-van en direction de "Pulau Penang" : une île situé sur la côte ouest de la Malaisie.

Après 5 heures de route, nous arrivons à destination : Georgetown, et nous rendons dans le plus vielle Hostel de la ville : "Hostel Love Holliday Inn".

Le dortoir n'est pas cher, mais les toilettes sont immondes, et pour cause... nous n'avons pas le droit de jeter le papier toilette dans les toilettes! La poubelle n'étant pas vidée souvent, vous pouvez imaginer le résultat...

Dans l'après-midi, nous prenons le bus pour nous rendre à la plage... qui est une déception! Penang est connu pour sa nourriture, et cela en reste là! Nous restons sur la plage jusqu'au couché du soleil, puis rentrons à l'Hostel où nous récupérons notre ticket de ferry de demain à destination de "Pulau Langkawi" : une île toujours à l'ouest de la Malaisie, mais à la frontière de la Thaïlande.

Le 15/03/2013 au matin, notre groupe de trois français rentrent dans le ferry... et c'est partie pour de nouvelles aventures. Hum hum...!

To be continued / À suivre...

Publié par Fan'style